Résumé :
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Les études réalisées par l’INJEP sur ce sujet donnent à voir des pratiques hétérogènes, selon les profils et les parcours, où l’estime de soi et les relations de proximité jouent un rôle essentiel.
Si certains jeunes se montrent autonomes dans leurs recherches, certains « manifestent des difficultés (…) à décoder ou à exploiter des informations ». Les spécificités de l’adolescence, l’importance de l’estime de soi, la place d’Internet et des réseaux sociaux jouent également sur les usages, et ce, de façon déterminante. Enfin, ces études pointent un système d’information trop descendant, trop cloisonné, imposant aux professionnels de repenser leurs pratiques.
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